Bar restaurant Le Lieu Dit - 6, rue Sorbier 75020 Paris - 01 40 33 26 29 - contact@lelieudit.com
Avec le soutien de la Fondation pour une terre humaine
Mardi 10 novembre à 19h30
Avec :
- Benjamin Coriat, professeur de sciences économiques à l’Université Paris 13, membre du collectif des Économistes Atterrés
- Elisa Martin, première adjointe à la Ville de Grenoble
- Christophe Henner, président de Wikimedia France
- Philippe Cacciabue, directeur de la Foncière Terre de liens
Les « biens communs », késako ? C’est l’air que l’on respire, l’eau que l’on boit, les forêts que l’on exploite et dans lesquelles on prend plaisir à flâner, ce sont les semences, garantes de la biodiversité – et donc de notre survie – c’est la Terre, notre habitat. Mais ce sont aussi les logiciels libres, les modes de vie traditionnels, les connaissances, l’information, etc.
Bref, ce sont des ressources naturelles ou culturelles gérées par une communauté qui se donnent ses propres règles en vue de les préserver.
Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État ? Préfigurent-ils la révolution au XXIe siècle face à la dictature du néolibéralisme ? Mais comment se prémunir contre une « tragédie des communs », c’est-à-dire la surexploitation de ressources autogérées ?
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